A Bordeaux, le 10 février 2012, Pauline Jungmann (DGDDI), Sandrine Castera(DGDDI), Anne Sandretto (TLF) et Martine Oliver (TLF)

Transporteurs, commissionnaires, logisticiens, entreprises exportatrices et importatrices …
« De nouvelles aides que vous devez ABSOLUMENT maîtriser ! »

La tournée française de l’Exportateur Agréé, organisée par TLF et les spécialistes du Bureau E1 de la DGDDI (politique commerciale et tarifaire), a commencé le 21 septembre 2011 à Montreuil. Elle est rapidement montée en puissance pour atteindre des records d’affluence à Lyon (le 15 décembre 2011), Bordeaux (le 10 février), Marseille (le 12 février 2012) puis Roissy (le 16 février 2012). Elle se poursuivra le 4 avril au Havre. D’autres rendez-vous seront fixés dans les mois prochains.

Ces journées, quoique dédiées à un thème quelque peu ardu : «Comment bénéficier au mieux des avantages tarifaires (taux de droit de douane réduit ou nul) réservés aux produits d’origine «préférentielle » en accédant au statut d’exportateur agréé?» mais présenté avec une grande clarté et maints exemples

Montreuil le 21 septembre 2011 (2)

précis, ont rencontré un grand succès auprès des adhérents de TLF et de leurs clients exportateurs et importateurs également invités à y assister.

« Maîtriser ces leviers à l’exportation ou à l’importation et ce statut est une véritable valeur ajoutée dans nos relations avec nos donneurs d’ordres ! », s’est exclamé l’un de nos adhérents, commissionnaire en douane.

Rappelons que, dans le cadre des relations préférentielles existant entre la Communauté européenne et certains pays tiers (Accord de libre échange avec la Corée du Sud entré en vigueur le 1er juillet 2011 et prochainement ALE avec Singapour, le Canada, la Malaisie, le Mercosur, etc.), des avantages tarifaires allant jusqu’à un taux de droit de douane nul sont réservés aux produits qui peuvent être réputés «originaires » des pays contractants.

« Beaucoup d’entreprises importatrices, exportatrices ou commissionnaires ont l’impression de subir la Douane, ont commenté les spécialistes de la DGDDI : avec la maîtrise de ces outils, ils ont la possibilité d’utiliser des leviers douaniers pour gagner plus en risquant moins… C’est tout à leur bénéfice ».