octobre
vendredi
22

Depuis janvier, le secteur du transport routier de marchandises « planche » sur des axes de rénovation, au sein de cette instance de dialogue que sont les Etats Généraux du TRM et dans le cadre de la CNIC (Commission Nationale d’Interprétation et de Conciliation). A quelques semaines du bilan des Etats Généraux, des consensus se dégagent entre les acteurs concernés – organisations professionnelles patronales, organisations syndicales, représentants de l’Etat, chargeurs et donneurs d’ordre – sur plusieurs dossiers (temps de disponibilité, contrat global de performances…) et de réelles perspectives de concrétisation se dessinent. Dans la dernière ligne droite, la mobilisation doit impérativement rester pleine et entière.

 

A travers les Etats Généraux, mis en place à l’initiative de TLF,  le secteur dispose d’une chance unique de rénovation, sur le plan social, économique et environnemental. Pour la première fois, l’ensemble des acteurs concernés sont réunis autour d’une même table pour tracer, ensemble, et de manière constructive, les voies d’avenir pour la profession. A la clé : une feuille de route qui permettra au secteur d’être prêt pour les grands défis de demain.

Depuis le début de l’année, plus de 80 réunions se sont ainsi tenues, dans les trois groupes de travail des Etats Généraux : attractivité des métiers, reconnaissance des qualifications et formation professionnelle (présidé par TLF), contrat global de performance (co-présidé par TLF et OTRE) et révision de la convention collective (présidée par la CFTC) et plus de trente, au sein de la Commission Nationale d’Interprétation et de Conciliation (CNIC). Mais au cours des derniers jours, du fait des actions de soutien des organisations syndicales du TRM aux syndicats de la Chimie, plusieurs réunions ont dû être reportées ou annulées perturbant un planning déjà extrêmement chargé. Les Etats Généraux prennent du retard. Aux avancées, réelles, succèdent des blocages, non moins réels. Or l’enjeu est de taille : de leur aboutissement dépend le devenir de notre Profession.  

 

Mutuelle

Visée dans le Protocole d’accord du 11 décembre 2009, la négociation en CNIC porte sur la création d’un socle minimal de protection sociale sous la forme d’une « Mutuelle Transport ». Dans un secteur où seul un salarié sur deux dispose aujourd’hui d’une mutuelle, c’est aussi l’une des conditions de l’attractivité de ses métiers. Dès le mois de mai, TLF a adressé aux organisations syndicales  un projet définissant le contenu de la « Mutuelle Transport ». Si TLF est « suivie » par les autres organisations professionnelles patronales, les organisations syndicales n’ont pas souhaité, à ce stade, aborder la discussion de fond, qu’il s’agisse de la nature ou du niveau des prestations ou des conditions d’ouverture des droits tant que ne sont pas réglés les préalables relatifs à la clause de désignation et à la prise en compte de la solidarité intergénérationnelle. Un groupe de travail vient d’être constitué pour élaborer un cahier des charges permettant de référencer des opérateurs ou organismes dans le cadre d’un appel d’offres.

 

Formation professionnelle et emploi

Au sein de la CNIC, les discussions se sont poursuivies jusqu’en septembre 2010 afin de procéder à une première réforme de l’appareil de formation professionnelle. Les autres organisations professionnelles patronales se sont ralliées aux orientations politiques, structurelles et professionnelles du projet proposé par TLF. Dans une lettre adressée aux organisations syndicales, il y a quelques semaines, le Président de TLF, Philippe GRILLOT, a pris des engagements d’avancée sur ce qui constituait, pour les syndicats, des points d’achoppement : la valorisation du tutorat et du contrat de professionnalisation. La balle est désormais dans leur camp. Si aucun accord conventionnel ne se dégage, c’est l’accord interprofessionnel en matière de formation qui fixera les règles, sans que puissent être prises en compte les spécificités de nos activités.

La signature de ce nouvel accord est, par ailleurs, essentielle pour engager de nouvelles étapes de la réforme dans les prochaines années, conditions nécessaires sur le plan politique à l’adaptation de notre appareil de formation professionnelle aux besoins futurs des entreprises et de leurs personnels.

 

Contrat global de performance

Dans ce groupe des Etats Généraux co-présidé par TLF et OTRE et dont la FNST-CGT assure la vice-présidence, l’objectif prioritaire des travaux est la restauration de la compétitivité du pavillon français. Plus que tout autre, ce groupe, qui réunit les organisations professionnelles patronales, les organisations syndicales, les représentants des chargeurs et donneurs d’ordres (ANIA, AUTF, FCD, …) et de l’Etat, a un rôle pédagogique pour toutes les parties. Il est accompagné, sur un plan technique et juridique, par le cabinet Francis Lefebvre. Chez TLF, il est piloté par les Conseils de métier de la messagerie-express et de la route qui ont mis en place un groupe dit « miroir » afin d’explorer différentes pistes de travail. Sur une cinquantaine de thèmes de réflexion identifiés, une vingtaine faisant l’objet d’un consensus émergeront dans les prochaines semaines. Ils serviront de base à un plan de travail pour 2011.

 

Au sein de ce groupe, le sous-groupe « Compétitivité économique » approfondit ses analyses concrètes sur les « Temps de service ».

Comment améliorer la compétitivité des entreprises, notamment par une réduction du  coût du travail ? Et cela, dans un dispositif « gagnant gagnant » pour l’employeur comme pour le salarié.

La convergence s’est faite sur l’idée de transposer en droit français la notion de temps de disponibilité (Directive européenne 2002/15/CE) tout en supprimant les heures d’équivalence.

Des simulations chiffrées pour les conducteurs « grands routiers » et « courte distance », à partir d’hypothèses d’entreprise, ont été réalisées pour mesurer l’impact de cette réforme tant pour l’entreprise que pour le salarié. Les premières simulations montrent qu’une amélioration de la compétitivité des entreprises n’est pas incompatible avec une augmentation du pouvoir d’achat des conducteurs.

Dans ce même groupe, le sous-groupe « relation transporteurs-chargeurs », après avoir listé l’ensemble du dispositif législatif et réglementaire en vigueur en matière de prix anormalement bas et de rémunération des temps d’attente et des prestations annexes, le cabinet Francis Lefebvre a identifié cinq thèmes principaux et proposé des solutions concrètes, à charge pour chacun des acteurs de se positionner. Comment obtenir de la part des chargeurs la véritable rémunération des temps d’attente ? Comment mieux élaborer ses prix ? Comment gérer la rupture brutale des relations commerciales ? Comment réguler les prix des trafics « spots » ?, …

 

Attractivité des métiers, reconnaissance des qualifications et formation professionnelle

Dans ce groupe des Etats Généraux du TRM, présidé par TLF, à l’issue de six réunions plénières et de plusieurs réunions de sous-groupes, quatre thèmes majeurs de réflexion émergent : transmission des savoirs et tutorat ; amélioration de la qualité de vie des personnels roulants pendant leur mission, amélioration des conditions de travail ; prévention des inaptitudes et reclassement ; fidélisation des personnels (évolution de carrière et sécurisation des parcours professionnels).

Après une démarche initiée par le Président de TLF, Philippe Grillot, auprès du Président du Comité des Usagers du Réseau Routier National, François BORDRY, la réflexion sur l’amélioration de la qualité de vie des personnels roulants pendant leur mission se concrétise. Un cahier des charges est en cours d’élaboration avec le Président du Comité des Usagers du Réseau Routier National afin de définir les critères de qualité auxquels devront répondre les aires de stationnement, les équipements sanitaires, d’hygiène et de repos, l’hygiène alimentaire…

Cette démarche concerne le réseau non concédé. Elle sera aussi menée en direction des responsables de plates-formes logistiques ou de zones industrielles. Le cahier des charges permettra ensuite de créer un label attribué aux établissements et/ou structures répondant à ses exigences.

De la même façon, au niveau de la branche, la création d’une bourse d’emplois est en préparation :
mesures d’accompagnement des entreprises pour le reclassement de leurs salariés inaptes et sécurisation des parcours professionnels par le transfert des personnels menacés de licenciement pour motif économique en cas de perte de marché.

Groupe « Modernisation de la convention collective »

Dans le cadre des travaux de ce groupe aux Etats Généraux, le cabinet Francis Lefebvre a procédé à un audit complet de l’outil conventionnel qui a donné lieu à un pré-rapport portant sur :

  • La conformité rédactionnelle
  • La mise à jour des nomenclatures et du système de classification.

A ce jour, les travaux de relecture et de première réécriture sont terminés pour la convention principale et l’ensemble des conventions annexes.

Sont, par ailleurs, en cours, les travaux de relecture de l’ensemble des protocoles spécifiques ainsi que ceux relatifs aux nomenclatures et classifications.

Les Etats Généraux du TRM constituent, pour la Profession, un rendez-vous historique à ne pas manquer si, dans un contexte d’intense compétitivité, la France veut continuer à porter haut les couleurs de son pavillon routier.

octobre
mardi
19

Depuis dix jours et dans de nombreuses régions, les entreprises de transport subissent des difficultés croissantes d’approvisionnement en carburant. Aujourd’hui, certaines d’entre elles sont contraintes d’arrêter leurs services. 

Le transport de marchandises est un maillon vital de l’économie et les dysfonctionnements des activités de transport risquent, à très court terme :

  • d’entraver la fragile reprise économique de notre pays ;
  • d’affecter sérieusement la vie quotidienne de nos concitoyens, tant automobilistes que consommateurs.

Alors que le Gouvernement a affiché à plusieurs reprises sa détermination à rétablir l’approvisionnement en carburant, force est de constater que ses engagements ne sont pas suivis d’effet sur le terrain. Ce décalage entre les discours et les faits est facteur d’incompréhension et de tension chez les professionnels.

TLF insiste pour que le Gouvernement prenne les mesures qui s’imposent. Il appartient aux autorités compétentes de poursuivre les opérations de déblocage des dépôts pétroliers afin d’assurer normalement l’approvisionnement des entreprises de transport.

Tout retard pris dans le rétablissement du circuit de distribution des carburants fragilisera plus encore la situation économique de nos entreprises.

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octobre
vendredi
15

Today, the UE Council has finally reached a political agreement on the Eurovignette dossier during the meeting of the Transport, Telecommunications and Energy Council.

Initially some delegations claimed that they needed some amendments on the compromise text drafted by the Belgian Presidency; however, finally, a qualified majority of Member States agreed on a new version of the compromise text which only contains a few modifications. Amendments to the Belgian compromise text include:

  • Exemption of EURO VI vehicles from air pollution charges: The Council finally agreed to exempt the least polluting vehicle class until 4 years (the Belgian compromise proposed 2 years) after the date of entry into force of the regulation.
  • Maximum toll variation to reduce congestion and the duration for its application: The Council agreed to take out all provisions regarding a congestion charge but agreed to fix a maximum toll variation at 170% (the Belgian compromise proposed 300%) above the maximum level of the weighted average toll for peak hours. Moreover, the Council agreed with the amount of the peak hours period of 5 hours (the Belgian compromise proposed 6 hours).

With this political agreement, the Council has decided to no longer maintain the compulsory earmarking of revenues generated by an external cost charge, which was originally suggested by the Commission and the European Parliament.

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octobre
mardi
5

A l’occasion du Salon de l’Automobile 2010 qui se tiendra jusqu’au 17 octobre, L’URF et ses adhérents, dont TLF, publient, avec la participation du MEEDDM, le dossier d’information « Grenelle Environnement : les métiers de la croissance verte : Filière de la route et de l’automobile ». Ce dossier sera largement distribué aux visiteurs du Salon.

Vous pouvez le consulter en suivant le lien  : DossierInformation métiers du transport et filière automobile

Dans ce dossier,  un chapître est consacré aux métiers de la logistique et du transport routier. En voici l’énoncé :
 
« Les commissionnaires de transport routier qui organisent les transferts de point à point,  les entreprises de transport routier ainsi que les prestataires logistiques qui assurent la gestion de stocks, exercent des activités qui évoluent très rapidement. En s’appuyant sur les nouvelles technologies, ils participent à la préservation  de  l’environnement  (éco-conduite)  et  contribuent  à  la  multimodalité  (route,  fer,  fleuve, mer).
 
Chiffres clés :
960 000 emplois en France
87  %  du  transport  de  marchandises  se  fait  par  la  route  (%  du  total  des  tonnes-kilomètres  hors oléoducs)
 
Profils recherchés 
Conducteurs routiers, logisticiens, conseillers commerciaux… 
 
Ci-dessous, retrouvez la répartition des métiers dans la filière de la route et de l’automobile.

octobre
mardi
5

La Fédération des Entreprises de Transport et Logistique de France (TLF) et Armateurs  de  France   souhaitent  exprimer  leur  incompréhension  face  à  la  situation actuelle dans les ports français, compte tenu des nombreuses avancées et accords obtenus en particulier en termes de garanties sociales. 
 
TLF et Armateurs de France déplorent la très mauvaise image de marque donnée par ces mouvements, y compris dans le secteur traditionnellement épargné des navires à passagers.
Ils  craignent  des  conséquences  économiques  graves  à  court  terme,  en  particulier  dans  la période difficile que nous traversons et, à moyen terme, pour l’avenir des ports français et des entreprises qui en dépendent.
 
Ils rappellent l’attachement des professionnels du transport  et de la logistique à la réforme portuaire  engagée  depuis  2008  par  le  secrétaire  d’Etat  aux  Transports,  Dominique BUSSEREAU. 
 
Cette  réforme  est  indispensable  pour  inscrire  les  ports  français  dans  la  compétition européenne et devenir des courroies de transmission fiables entre la croissance mondiale et l’économie française. Il est urgent qu’elle aboutisse.

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octobre
vendredi
1

Depuis 2006, des arrêtés de portée locale (APL) ont autorisé la circulation à 44 tonnes des véhicules participant à la récolte betteravière. À la demande du Président de la République, une modification du Code de la route a été engagée afin d’autoriser la circulation des transports des produits agricoles ou agro-alimentaires. Le projet de décret a été transmis au Conseil d’Etat et sera publié dans les prochaines semaines.

Dans cette attente, le ministère chargé des Transports a adressé le 13 juillet 2010 une circulaire définissant les types de produits autorisés et les conditions de circulation de ces véhicules. Ce document est téléchargeable à partir du lien suivant : Circulaire 44 t Produits agricoles 2010

Liste actualisée des arrêtés de portée locale (APL) au fur et à mesure de leur publication (mise à jour au 8 octobre 2010) :

Aquitaine

24 – Dordogne APL 24 (Dordogne)

33 – Gironde APL 33 (Gironde)

40 – Landes APL 40 (Landes)

47 – Lot et Garonne APL 47 (Lot et Garonne) + ALP modificatif APL 47 (Lot et Garonne) modifié

64 – Pyrénées Atlantiques APL 64 (Pyrénées atlantiques)

Basse Normandie

14 – Calvados APL 14 (Calvados)

50 – Manche APL 50 (Manche)

61 – Orne APL 61 (Orne)

Bretagne

22 – Côtes d’Armor APL 22 (Côtes d’Armor)

29 – Finistère APL 29 (Finistère)

35 – Ille et Vilaine APL 35 (Ille et Vilaine)

56 – Morbihan APL 56 (Morbihan)

Centre

18 – Cher APL 18 (Cher)

28 – Eure-et-Loir APL 28 (Eure et Loir)

36 – Indre APL 36 (Indre)

37 – Indre et Loire APL 37 (Indre et Loire)

41 – Loir et Cher APL 41 (Loir et Cher)

Champagne-Ardenne

08 – Ardennes APL 08 (Ardennes)

10 – Aube APL 10 (Aube)

51 – Marne APL 51 (Marne)

52 – Haute Marne APL 52 (Haute Marne)

Ile de France

77 – Seine et Marne APL 77 (Seine et Marne)

78 – Yvelines APL 78 (Yvelines)

91 – Essonne APL 91 (Essonne)

95 – Val d’Oise APL 95 (Val d’Oise)

Lorraine

55 – Meuse APL 55 (Meuse)

57 – Moselle APL 57 (Moselle)

Midi Pyrénées

31 – Haute Garonne APL 31 (Haute Garonne)

32 – Gers APL 32 (Gers)

65 – Hautes Pyrénées APL 65 (Hautes Pyrénées)

Pays de la Loire

44 – Loire Atlantique APL 44 (Loire atlantique)

49 – Maine et Loire APL 49 (Maine et Loire)

72 – Sarthe APL 72 (Sarthe)

85 – Vendée APL 85 (Vendée)

Picardie

80 – Somme APL 80 (Somme)

Poitou-Charentes

16 – Charente APL 16 (Charente)

17 – Charente Maritime APL 17 (Charente Maritime)

79 – Deux Sèvres APL 79 (Deux Sèvres)

86 – Vienne APL 86 (Vienne)

Provence Alpes Côte d’Azur

04 – Alpes de Haute Provence APL 04 (Alpes de Haute Provence)

05 – Hautes-Alpes APL 05 (Hautes Alpes)

83 – Var APL 83 (Var)

84 – Vaucluse APL 84 (Vaucluse)

Rhône-Alpes

01 – Ain APL 01 (Ain)

26 – Drôme APL 26 (Drôme)

42 – Loire APL 42 (Loire)

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septembre
vendredi
10

TLF a participé à  deux études commandées par la CERTA :

« Quelles orientations pour la logistique urbaine en Aquitaine ? » (étude complète : http://www.certa-aquitaine.org/media/logistiqueurbaine.pdf)

L’objectif de cette mission était de dresser les grandes orientations régionales permettant aux agglomérations aquitaines d’élaborer une politique marchandises cohérente entre les différentes échelles territoriales et pertinente.

Les grands principes sont :

  • la mise en oeuvre de réglementations environnementales permettant la réduction des émissions de polluants et de gaz à effet de serre ;
  • la promotion des véhicules innovants plus respectueux de l’environnement, à travers notamment la définition d’une aide à l’acquisition ;
  • la planification permettant de réserver au coeur des villes des emprises foncières à des prix en adéquation avec le marché du transport et pouvant accueillir des Espaces Logistiques Urbains ;
  • la mise en oeuvre d’une instance de concertation régionale sur le thème de la logistique urbaine fédérant les acteurs publics et privés et dont une des premières missions serait d’établir une base de connaissances (notamment statistique) sur la thématique et un plan média (reconnaissance de l’utilité de la logistique urbaine et sensibilisation sur les enjeux).

Le succès de ces grands principes ne sera possible que par la mise en oeuvre d’actions volontaristes qui ne soient pas des mesures éparses et diffuses mais de réels leviers à la modification du système de transport de marchandises.

Ces grands principes recouvrent l’ensemble des champs qui concernent la ville, l’urbanisme, le transport et la logistique, et l’ensemble de leurs dimensions, économique, sociale, environnementale, juridique, technique.

« Analyse des besoins et des attentes à court et moyen termes de transports durables sur les courtes distances par bassin d’activités Les Opérateurs Ferroviaires de Proximité En région AQUITAINE » (étude complète : http://www.certa-aquitaine.org/media/ETUDE%20OFP%20COMPLET.pdf)

Par ses caractéristiques structurelles fortes (étendue territoriale, réseau ferrée historique, bassins industriels et portuaires, ….), et l’existence d’éléments fonctionnels puissants (filières aux flux importants, relations intenses avec les territoires limitrophes, maintien d’axes ferroviaires, …) l’Aquitaine est une région qui possède les atouts nécessaires pour la conduite d’une démarche approfondie visant à la mise en place d’un (ou peut-être plusieurs) d’OFP.

La recherche d’opportunités solides pour la création d’un OFP devra s’appuyer sur :

  • l’organisation des zones d’interconnexion des trafics en place,
  • la préservation ou la réactivation de certaines zones d’activité de fret ferroviaire,
  • les atouts de son agriculture
  • les possibilités économiques régionales à construire.

La conduite des Ateliers du Fret Ferroviaire en Aquitaine est l’étape nécessaire pour assurer le lien entre l’analyse des besoins macro-économiques présentés dans ce rapport, et la mise en place effective d’un (ou plusieurs) OFP en Aquitaine.

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septembre
mardi
7

 

  • Principales statistiques (mondiales) de transport

Principales statistiques dans le transport -Key Transport statistics 2009 (International Transport Forum)

  • Les prix du transport en Europe

30082010 Indice des prix transports CapGemini & Transporeon

  • « Transports routiers de marchandises au premier trimestre 2010 »(Rapport du Commissariat au développement durable)

Transport routier de marchandises au premier trimestre 2010 – MEEDEM

http://www.e-tlf.com/french/position/presse/La_France_dans_le_TRM_europeen_cle7949b1.pdf

  • Rapport 2010 de la Commission Paritaire Nationale professionnelle de l’Emploi et de la formation professionnelle dans les transports routiers et les activités auxiliaires du transport.

http://www.e-tlf.com/french/position/presse/Exe_OPTL_2010.pdf

http://www.e-tlf.com/french/position/presse/les_comptes_des_transports_en_2009.pdf

  • Données statistiques sur le transport de marchandises (Commissariat général au développement durable).

http://www.e-tlf.com/french/position/presse/les_transports_de_marchandises_en_Europe.pdf

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